Printemps de bouses – 2001

Le Printemps de Bouses, c'est le genre de truc bon esprit, où on aime les vaches et où on rigole. Nous sommes donc parti avec la ferme intention de matter de la vache au soleil en sirotant un pastis, et en mangeant du porc (par respect pour nos amies présentes).
Mais à quelques mètres avant d'arriver, une giboulée de mars qui était quelque peu en retard nous tombe dessus (voir la première photo).
Une fois de plus rien ne se passait comme prévu, et si il n'y avait eu que la pluie pour bouleverser nos plans, ça n'aurait pas été grave, mais moi qui était venu les mains dans les poches, sans stylo, ni papier, je n'ai pas pu récupérer les autographes de François Morel, et de l'arrière-arrière-petite-fille de la vache qui jouait dans "la vache et le prisonnier" aux côtés de Fernandel !
Nous avons ensemble pu apprécier une magnifique gallerie d'art consacrée à nos amies les vaches, et malgré la pluie nous avons pu discuter avec des vaches en plein air, pour ensuite nous perdre dans la nature hostile des villages du coin.

Moriarty.

Excepté le trajet assez insupportable (la pluie plus le Moriarty en ébullition à l'idée de voir des vaches), le Printemps de Bouses s'est révélé être un bon petit festival, avec plein d'animaux et de pluie. Bon faut juste pas prendre le Moriarty avec soi et ça passe !

Klem.

J'ai rêvé que j'étais une vache qui criait au secours... Et après j'entendais des supporters, dans un car aux couleurs Lustucru ressurgissant du passé, hurler "allez l'oèmeuh"...
Tom hate.